La saison 25-26
7-8 Jean-François
du 11 au 30 novembre
Texte :
Alexandra Tiedemann
Mise en scène :
Céline Goormaghtigh
Jeu :
Olivier Gabus
Scénographie :
Célia Zanghi
Lumières :
Danielle Milovic
Sons :
Frédérique Jarabo
Que faire quand on a raté sa vie à 50 ans ?
Jean-François nourrit une vie pleine de rancoeur. Son médecin l’encourage à se prendre en main. Sans disposition particulière, Jean-François s’inscrit à un cours de danse disco.
Jean-François tombe sur Michaël, un ancien « camarade » de classe, fraîchement revenu dans le coin. Cette rencontre inattendue va bouleverser profondément sa vie, faire ressurgir le spectre du harcèlement qu’il a subi il y a plus de 30 ans et réveiller une compétitivité enfouie.
Jean-François rêve désormais de prendre sa revanche sur Michaël et de gagner la coupe de la Night, la 40e, une consécration dans la région…
Artaud Génica :
Correspondances
du 23 janvier au 1er février
Texte :
d’après les lettres d’Antonin Artaud
à Génica Athanasiou
Mise en scène :
Daniela Morina Pelaggi
Jeu :
Daniela Morina Pelaggi
Regard extérieur à la reprise
et collaboration artistique :
Piera Bellato
Lumières / régie :
Claire Firmann / Fadri Pinosch
Sons / Vidéos
Romain Aweduti / Robert Nortik
Cent ans après, que reste-t-il de ces mots d’amour ?
Antonin a tout juste vingt-cinq ans. Il n’a encore rien publié, c’est un jeune poète du sud de la France. Génica, elle, a vingt-quatre ans, elle a traversé l’Europe en ruine depuis sa Roumanie natale, fuyant son destin de femme à marier. Elle sera son grand amour ou, tout du moins, la seule relation dont témoigne la correspondance du jeune poète.
Cette correspondance amoureuse, tantôt sublime, tantôt déchirante, est le vivant témoignage d’une passion, tout autant que celui de la descente aux enfers d’une des figures les plus complexes des avant-gardes françaises du XXe siècle.
L’excursion des jeunes filles mortes
du 6 au 15 mars
Texte :
Anna Seghers
Jeu :
Anne Durand
Réalisation :
Hervé Loichemol
Gilles Vuissoz
Nicolas Crispini
Claude Vuillemin
De quelle couleur étaient les yeux de votre maîtresse d’école ?
Printemps 1913. Une classe d’étudiantes en excursion sur le Rhin. Sur une balançoire, Leni et Marianne, mais aussi Lore, Greta, Nora, Sophie… Quinze adolescentes à l’orée de leur vie.
Les époques se superposent, se conjuguent, entrent en collision : l’idylle adolescente est piétinée par la brutalité du temps. Quinze destins happés par l’Histoire.
Anna Seghers dit les liaisons brûlantes, les promesses d’éternité, les serments, les engagements, les reniements, la beauté du monde et son atrocité.
Les créanciers
du 19 au 29 mars
Texte :
August Strinberg
Mise en scène :
Christian Gregori
Jeu :
Christian Gregori
Pauline Klaus
Olivier Lambelet
Scénographie :
à venir
Lumières :
Jean-Luc Willommet
Sons :
à venir
Quelle ronde amoureuse pour ce trouple ?
Adolf et Tekla sont un couple d’artistes en vogue; lui est peintre, elle est écrivain. Par amour, il s’est consacré à la carrière de sa femme au détriment de la sienne, lui prodiguant des enseignements, l’introduisant dans les cercles littéraires et dans ses tableaux qui ont fait d’elle une femme à la mode. Ils s’aiment, mais Tekla ne peut s’empêcher de séduire d’autres hommes.
Sans révéler son identité, son premier mari ressurgit pour rencontrer le second et régler ses comptes, car lui aussi a tout donné pour cette femme qu’il ne peut s’empêcher d’aduler.
Festival L’Escalier
Première quinzaine d’avril
Troisième édition
2 scènes
10 jours
30 bénévoles
60 spectacles
120 artistes
Un mini-Paléo à Chêne-Bourg ?
Avez vous l’habitude d’aller voir des pièces de théâtre ? De cirque ? De danse ? De musique ? D’un autre art scénique en tout genre ou en tout style ?
Si vous avez répondu oui, alors rendez-vous au théâtre pour découvrir comment les nouvelles générations d’artistes s’approprient ces formes !
Le festival L’Escalier c’est dix jours de découverte, pour vous mais aussi pour les artistes.
Les pères
du 22 avril au 3 mai
Texte :
Julie Annen
Mise en scène :
Lefki Papachrysostomou
Jeu :
Dimitri Anzules
Angelo Dell’aquila
Miguel Fernandez V.
Serge Martin
Jeff Saintmartin
Scénographie :
à venir
Lumières :
à venir
Sons :
à venir
Que prenons-nous de nos pères
pour l’être à notre tour ?
Un groupe de paroles réunit différents hommes de tout âge et de toutes conditions qui viennent chacun partager et témoigner de leurs réalités de pères.
Les farfadets
du 12 au 31 mai
Texte :
Berbiguier de Terre-Neuve du Thym
Mise en scène :
Dominique Ziegler
Jeu :
Julien Tsongas
Scénographie :
à venir
Lumières :
à venir
Sons :
à venir
Les démons sont-ils parmi nous ?
Berbiguier de Terre-Neuve du Thym était un citoyen français d’Avignon, qui après s’être fait tirer les cartes par une diseuse de bonne aventure, commença à voir des êtres maléfiques partout autour de lui, qu’il appelait les « farfadets ». Son délire dura toute son existence. Son livre sur les démons est une impressionnante somme détaillée, au style littéraire riche et au contenu absolument saugrenu, à la fois pitoyable et comique malgré lui. Il constitue le témoignage le plus complet de l’intérieur d’un homme en proie à la folie profonde. Il sera redécouvert au siècle suivant par les surréalistes, notamment par Raymond Queneau ainsi que par les amateurs d’art brut. Le spectacle sera un montage de la parole même de ce célèbre « fou littéraire » et proposera au spectateur un voyage dans les méandres de sa pensée.
Ah ! Une brève histoire
du cri primordial
du 19 juin au 4 juillet
Texte :
Cie Homme Hilare
Mise en scène :
Cie Homme Hilare
Jeu :
François Nadin
David Valère
Scénographie :
à venir
Lumières :
Loane Ruga
Sons :
Loane Ruga
L’homme était-il vraiment plus heureux quand il ne parlait pas ?
» Ah ? “ Ou comment interroger les origines du langage à travers une performance mêlant philosophie, politique et science..
Sur scène, deux personnages, Tim et Igor, l’un taciturne et l’autre volubile, incarnent, malgré eux, cette quête de savoir, inspirée par l’optimisme de Pangloss: “Tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles. »
Un voyage au cœur des ténèbres de l’âme humaine dont on ne revient pas indemne.
avec le soutien des communes
de Chêne-Bourg
Chêne-Bougeries
et Thônex