Les spectacles jusqu’à l’été
PRESENTATION
DE SAISON 25-26
Venez découvrir en avant-première la douzaine de spectacles à l’affiche de l’automne 2025 à l’été 2026.

MARDI 10 JUIN A 18H
En présence des artistes.
Avec un apéro dans le jardin.
Libidoll
Quelque chose de Rock n’ Roll
Une attitude très Libidoll
Rock (de)progressif, (dé)compressé.
Trio genevois issu de diverses formations du cru, ils étirent sur tous les horizons électriques.
Fraîchement né de REC Studio à Genève, leur 1er EP court sur le label Urgence Disk avec une sortie prévue le 28 juin 2025.
Osez Libidoll !
Ils le feront
Osez Libidoll !
Ils y seront

Et Minima en première partie
Chanson française, également en anglais…
Toujours là. Toujours doux. Comme un sourire après les larmes…
et quelques notes en plus…
Concert le mercredi
11 juin à 19 heures
Au fumet de l’oseille
De nos jours, Johnny vient de perdre son travail après avoir défendu une collègue face à son patron : il est renvoyé sans indemnités. Quand il reçoit un SMS d’une certaine Eva Escobar, lui proposant de kidnapper une riche héritière contre une somme qui le sortirait de tous ses ennuis, Johnny hésite…
Sa mère Daisy le force à accepter la mission. Daisy n’en est pas à son premier coup, élevée dans une famille de gangsters, elle se désespère que son fils ne suive pas ses traces…Les deux malfrats se retrouvent dans un gîte en campagne que Louise et Clovis viennent d’aménager. Rien ne se passe comme prévu, les quiproquos s’enchaînent, rires en perspective…

17 – 21.06
Mise en scène et régie :
Dominique Moret
Jeu : Loïc Shupbach, Nathalie Tang, Angela Bandini, Luc Magnenat, Émilienne Perrin, Laure Oymak
Lumières : Balam Ronan, Simon Delgado
Décors : Laure Oymak, Dominique Moret
Comme ci (ou comme ça)
Que se passe-t-il dans un théâtre, une fois que le spectacle est terminé ?
Que s’y joue-t-il, entre les représentations, la nuit ?
Peut-être un peu de son âme, de son mystère et de sa mémoire.
Dans ce temps, suspendu, à l’état pur, dans cette zone en quelque sorte interdite, deux hommes vont se rencontrer, se mesurer, se révéler.
La naissance, sans doute, d’une amitié.

24.06 – 06.07
Un spectacle conçu, réalisé et interprété par Pavel Jancik et Philippe Macasdar
Nous aurions pu réaliser notre projet comme ci, les circonstances de la vie veulent qu’il s’accomplisse comme ça. Pour des raisons de santé, Pierre Miserez a dû renoncer à participer à la création de « Épongez vos dettes, faites du théâtre ! ». Ce spectacle était porté par nous trois, fruit d’un compagnonnage au long cours ayant engendré un premier spectacle en 2021. Il n’était donc pas question de remplacer Pierre. Cependant, les éponges ni les dettes ne sont en mesure de combler notre soif de théâtre…
La saison 25-26
Le baron de Münchausen
du 5 au 14 septembre
Texte :
d‘après Godfried August Bürger
Mise en scène :
Dorian Giauque et Mathieu Fernandez-V.
Jeu :
Dorian Giauque et Mathieu Fernandez-V.
Scénographie :
Maya Bringhen
Lumières :
Mathieu Fernandez-V.
Sons :
Dorian Giauque

Mais qui est le baron ?
Héros populaire de la littérature allemande, le baron de Münchhausen nous emmène entre absurde et cocasserie, musique et mensonge, rire et poésie, dans un univers rocambolesque.
Mythe ou réalité, vantardise et témoignage, nul ne saura déceler le mythe de l’homme sous la moustache.
Trois mecs au bol
du 26 septembre au 5 octobre
Texte :
Lorin Kopp, Steven Matthews, Mirco Verdesca
Mise en scène :
Lorin Kopp, Steven Matthews, Mirco Verdesca
Jeu :
Lorin Kopp, Steven Matthews, Mirco Verdesca
Scénographie :
à venir
Lumières :
à venir
Sons :
à venir

Pourquoi on grandit ?
L’absurdité est désormais the new normal. Alors quoi ? Ben quoi on verra quoi qui ou quand comment.
Ecriture de plat tôt par trois clowns qui s’ignorent mais qui chantent à trois voix pour soigner leur démons.
Et le vôtre. Celui qui s’immisce dans votre âme peu à peu et vous grignote de l’intérieur.
La réunion
du 10 au 17 octobre
Texte :
Création collective
Mise en scène :
Valentine Aellen
Jeu :
Baptiste Gens, Rayan Hadad, Juliette Priotte et Valentine Aellen
Scénographie :
à venir
Lumières :
Elie Rofe et Antoine Travert
Sons :
Come Luquet et Alix Olive

Que faire en attendant que tout commence ?
Une salle. Une table. Un bonsaï mort. Quatre collaborateurs. Dans cette salle, ils attendent leur N+1 pour que la Réunion commence.
Ils ont oublié depuis longtemps l’objet de cette réunion, et s’il y en avait bien un au départ. Mais comme il est pour nous vital de manger, respirer, dormir, il leur est absolument vital de se réunir.
La salle de réunion est leur nouvel habitat. Elle est une réalité parallèle aux règles précises mais insaisissables, et où, dans une éternelle attente, s’épanouit un nouvel embranchement des hominidés : l’Homo Congregatio…
7-8 Jean-François
du 11 au 30 novembre
Texte :
Alexandra Tiedemann
Mise en scène :
Céline Goormaghtigh
Jeu :
Olivier Gabus
Scénographie :
Célia Zanghi
Lumières :
Danielle Milovic
Sons :
Frédérique Jarabo

Que faire quand on a raté sa vie à 50 ans ?
Jean-François nourrit une vie pleine de rancoeur. Son médecin l’encourage à se prendre en main. Sans disposition particulière, Jean-François s’inscrit à un cours de danse disco.
Jean-François tombe sur Michaël, un ancien « camarade » de classe, fraîchement revenu dans le coin. Cette rencontre inattendue va bouleverser profondément sa vie, faire ressurgir le spectre du harcèlement qu’il a subi il y a plus de 30 ans et réveiller une compétitivité enfouie.
Jean-François rêve désormais de prendre sa revanche sur Michaël et de gagner la coupe de la Night, la 40e, une consécration dans la région…
Artaud Génica :
Correspondances
du 23 janvier au 11 février
Texte :
d’après les lettres d’Antonin Artaud
à Génica Athanasiou
Mise en scène :
Daniela Morina Pelaggi
Jeu :
Daniela Morina Pelaggi
Piera Bellato
Camille Giacobino-Polier
Elina Gaumondie
Scénographie :
Anouk Savoy
Lumières :
Claire Firmann
Sons / Vidéos
Romain Aweduti / Fadri Pinosch

Cent ans après, que reste-t-il de ces mots d’amour ?
Antonin a tout juste vingt-cinq ans. Il n’a encore rien publié, c’est un jeune poète du sud de la France. Génica, elle, a vingt-quatre ans, elle a traversé l’Europe en ruine depuis sa Roumanie natale, fuyant son destin de femme à marier. Elle sera son grand amour ou, tout du moins, la seule relation dont témoigne la correspondance du jeune poète.
Cette correspondance amoureuse, tantôt sublime, tantôt déchirante, est le vivant témoignage d’une passion, tout autant que celui de la descente aux enfers d’une des figures les plus complexes des avant-gardes françaises du XXe siècle.
L’excursion des jeunes filles mortes
du 6 au 15 mars
Texte :
Ana Seghers
Mise en scène :
Hervé Loichemoil
Jeu :
Anne Durand
Scénographie :
à venir
Lumières :
à venir
Sons :
à venir

De quelle couleur étaient les cheveux de votre maîtresse d’école ?
Printemps 1913. Une classe d’étudiantes en excursion sur le Rhin. Sur une balançoire, Leni et Marianne, mais aussi Lore, Greta, Nora, Sophie… Quinze adolescentes à l’orée de leur vie.Les époques se superposent, se conjuguent, entrent en collision : l’idylle adolescente est piétinée par la brutalité du temps. Quinze destins happés par l’Histoire.Anna Seghers dit les liaisons brûlantes, les promesses d’éternité, les serments, les engagements, les reniements. Elle dit la beauté du monde, son atrocité.
Les créanciers
du 20 au 29 mars
Texte :
August Strinberg
Mise en scène :
Christian Gregori
Jeu :
Christian Gregori
Pauline Klaus
Olivier Lambelet
Scénographie :
à venir
Lumières :
Jean-Luc Willommet
Sons :
à venir

Quelle ronde amoureuse pour ce trouple ?
Adolf et Tekla sont un couple d’artistes en vogue; lui est peintre, elle est écrivain. Par amour, il s’est consacré à la carrière de sa femme au détriment de la sienne, lui prodiguant des enseignements, l’introduisant dans les cercles littéraires et dans ses tableaux qui ont fait d’elle une femme à la mode. Ils s’aiment, mais Tekla ne peut s’empêcher de séduire d’autres hommes.
Sans révéler son identité, son premier mari ressurgit pour rencontrer le second et régler ses comptes, car lui aussi a tout donné pour cette femme qu’il ne peut s’empêcher d’aduler.
Festival L’Escalier
Première quinzaine d’avril
Troisième édition
2 scènes
10 jours
30 bénévoles
60 spectacles
120 artistes

Un mini-Paléo à Chêne-Bourg ?
Avez vous l’habitude d’aller voir des pièces de théâtre ? De cirque ? De danse ? De musique ? D’un autre art scénique en tout genre ou en tout style ?
Si vous avez répondu oui, alors rendez-vous au théâtre pour découvrir comment les nouvelles générations d’artistes s’approprient ces formes !
Le festival L’Escalier c’est dix jours de découverte, pour vous mais aussi pour les artistes.
Les pères
du 22 avril au 3 mai
Texte :
Julie Annen
Mise en scène :
Lefki Papachrysostomou
Jeu :
Dimitri Anzules
Angelo Dell’aquila
Miguel Fernandez V.
Serge Martin
Jeff Saintmartin
Scénographie :
à venir
Lumières :
à venir
Sons :
à venir

Que prenons-nous de nos pères
pour l’être à notre tour ?
Un groupe de paroles réunit différents hommes de tout âge et de toutes conditions qui viennent chacun partager et témoigner de leurs réalités de pères.
Les farfadets
du 12 au 31 mai
Texte :
Berbiguier de Terre-Neuve du Thym
Mise en scène :
Dominique Ziegler
Jeu :
Julien Tsongas
Scénographie :
à venir
Lumières :
à venir
Sons :
à venir

Les démons sont-ils parmi nous ?
Berbiguier de Terre-Neuve du Thym était un citoyen français d’Avignon, qui après s’être fait tirer les cartes par une diseuse de bonne aventure, commença à voir des êtres maléfiques partout autour de lui, qu’il appelait les « farfadets ». Son délire dura toute son existence. Son livre sur les démons est une impressionnante somme détaillée, au style littéraire riche et au contenu absolument saugrenu, à la fois pitoyable et comique malgré lui. Il constitue le témoignage le plus complet de l’intérieur d’un homme en proie à la folie profonde. Il sera redécouvert au siècle suivant par les surréalistes, notamment par Raymond Queneau ainsi que par les amateurs d’art brut. Le spectacle sera un montage de la parole même de ce célèbre « fou littéraire » et proposera au spectateur un voyage dans les méandres de sa pensée.
Ah ! Une brève histoire
du cri primordial
du 19 juin au 4 juillet
Texte :
Cie Homme Hilare
Mise en scène :
Cie Homme Hilare
Jeu :
François Nadin
David Valère
Scénographie :
à venir
Lumières :
Loane Ruga
Sons :
Loane Ruga

L’homme était-il vraiment plus heureux quand il ne parlait pas ?
» Ah ? “ Ou comment interroger les origines du langage à travers une performance mêlant philosophie, politique et science..
Sur scène, deux personnages, Tim et Igor, l’un taciturne et l’autre volubile, incarnent, malgré eux, cette quête de savoir, inspirée par l’optimisme de Pangloss: “Tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles. »
Un voyage au cœur des ténèbres de l’âme humaine dont on ne revient pas indemne.
avec le soutien des communes
de Chêne-Bourg
Chêne-Bougeries
et Thônex
