La saison 24-25

Dans le sens  
des aiguilles du monde

Une ode à la ménopause
sensible et drôle

Depuis des années, Malou donne sa conférence sur le réchauffement climatique.

Cependant, depuis un certain temps, les choses ne se passent pas comme elle veut.

Quelque chose ne tourne pas rond en elle. Et aujourd’hui, c’est vraiment le pompon. Rien ne se passe comme prévu.

Contre toute attente… de glissements de terrains en glissements de terrains… elle renoue avec son histoire de femme.

Sa petite histoire résonnerait-elle avec la grande histoire du monde ?

 

16 – 19.01

De et par : Solange Hutmacher

Mise en scène : Sébastien Osmont

Affiche : Soizic Séon

Création 2024

Cie Les Fileurs de Rêves

Genève & Thonon-les-Bains

avec le soutien de Thonon-Evénements

www.lesfileursdereves.fr

Spectacle à partir de 14 ans

 

Sourcière

 

Une femme est interrogée au sujet de la disparition d’un homme qu’elle est la dernière à avoir rencontré.

A-t-elle quelque chose à voir avec cette disparition ? Pourquoi cet homme a-t-il cherché à la rencontrer et à la questionner ?

Il disait être en quête d’un grand secret, un secret ancestral, que cette femme détiendrait.

Il est vrai que cette femme se dit sorcière.

Mais quel est ce secret ?

Et après tout, qu’est-ce qu’une sorcière..?

 

28.01 – 09.02

Texte : Miguel Fernandez

Mise en scène : Elsa Anzules

Jeu : Christine Aebi

Lumières : Claire Firmann

 

Consoler Madeleine

Que fait-on des objets de nos morts ?


Une tragi-comédie, un spectacle qui aborde avec humour et poésie nos petits arrangements avec les souvenirs et les chagrins.

Comment, à travers les objets hérités,  fait-on le lien avec nos défunt-es et comment sortir de l’encombrement voire de l’envahissement de nos héritages matériels ou immatériels ?

  

14 – 23.02

Texte : Perrette Gonet

Mise en scène : Olivier Carrel

Jeu : Perrette Gonet et Mitch Monin

Lumières : Laurent Schaer

Sons : Julien Israelian

Papá Doble


Cuba, 1949

Ecrivain, grand voyageur, amoureux des femmes et de l’alcool, Hemingway, de retour de Venise, a pris ses quartiers dans un bar de la Havane. Il y écrit, avec la complicité de la barmaid Manolina, ce qui va devenir les premières pages du vieil homme et la mer.

Débarque un étrange personnage, Carlo, qui va confronter Hemingway afin de démasquer la personne derrière le mythe. Et la rencontre, d’abord conviviale, vire au duel sans merci.

Les trois protagonistes seront alors poussés à se dévoiler au-delà des apparences, dans une dramaturgie où vérité et mensonge se confondent pour supporter nos conditions humaines et cette terrible chance d’exister.

De la nécessité d’enjoliver le réel pour mieux le supporter… n’est-ce pas un peu notre tentation à tous ?

  

06-23.03

Texte et mise en scène :
Stéphane Michaud

Jeu : Roseline Bals 
Emmanuel Bouvier 
Pierre Hauser
Pierre Nicole

Décors : Olivier Ardois
Costumes : Charlotte Lépine
Perruques : Emmanuelle Pellegrin

Lumières : Michel Faure
Images : Olivier Hochstaetter
Régie : Max Michaud

Les Solitudes

ou

Si j’étais une Sardine

 

Le Duo du Collectif Touche Noire emmène le public dans une enquête particulière : c’est quoi la Solitude ?

Vous allez partir avec elles sur les traces de solitudes multiples ; un voyage à travers des interviews, des textes, des chansons, des scènes de vie, des scènes rêvées, du rire et de la légèreté. Chaque soir donnera lieu à la création d’un nouveau paysage dans lequel chacun pourra se reconnaître.

  

28.03 – 13.04


Montage et textes d’interviews et Collectif Touche noire

Mise en scène : Christian Scheidt

Conception et jeu :
Carole Bruhin et Marie Probst

Lumières : Claire Firmann

Son : Olivier Gabus

 

Festival l’Escalier

 

Après une première édition très réussie, cap sur une deuxième année tout aussi prometteuse pour fêter l’arrivée du printemps. 

  

21.04 – 04.05

En attendant la programmation, le site du festival vous donne un avant-goût de l’esprit de celui-ci.

Petite

 

Il y a une période de notre vie qui nous marque particulièrement.

Pour ma part c’est quand je jouais aux Barbie, j’étais la réalisatrice la plus renommée du monde.

J’étais la référence du cinéma.

Tout le monde voulait travailler pour moi.

Un jour, tout s’est arrêté, mon monde s’est écroulé, c’était la fin.

08-18.05

Texte, mise en scène et jeu :
Anne Probst

Regard extérieur : Mariama Sylla

Lumières : Stéphane Charrier

Magnus

 

Sur scène Rudi, un lutteur, se prépare au combat. Il va affronter le jeune Matthias, 19 ans, 1m91 pour 120 kilos de muscles, sous un peu de gras tout de même.

Mais Rudi (RuEdi en Schweizerdeutsch) est né dans une ferme, il y a 70 ans…

C’est un être antique dont le corps porte encore l’odeur de la terre qui l’a vu naître. Un homme archaïque, sensible et qui sait bien que chez tous les hommes coule le même sang.

 

  

23.05 – 01.06

Texte et mise en scène :
Attilio Sandro Palese

Jeu : Michel Rossy et distribution en cours

Une production de la compagnie
Love Love Hou 

en coproduction avec la compagnie
L’État de Poésie 

 

On va pas se mentir,
ça fait mal aux pieds.

 

Qu’est ce qu’une femme ? Le spectacle musical ne propose ni définition ni réponse. Il nous invite à laisser tomber codes et étiquettes pour vagabonder au gré des chansons dans un vaste monde qui emprunte des chemins de musique, de poésie, d’humour et surtout… de tendresse.

Un spectacle joyeux et tendre, hommage aux univers féminins chamarrés, servi par trois musiciennes de talent dont les voix s’entremêlent, ouvrant la voie à tous les possibles. 

 

  

04 – 08.06

Montage de textes et choix de chansons du répertoire

Mise en scène : Cécile Xambeu

Jeu : Paolina Bel, Marie Dufour et Emilie Jacquelin

 

 

 

Au fumet de l’oseille

 

De nos jours, Johnny vient de perdre son travail après avoir défendu une collègue face à son patron : il est renvoyé sans indemnités. Quand il reçoit un SMS d’une certaine Eva Escobar, lui proposant de kidnapper une riche héritière contre une somme qui le sortirait de tous ses ennuis, Johnny hésite…

Sa mère Daisy le force à accepter la mission. Daisy n’en est pas à son premier coup, élevée dans une famille de gangsters, elle se désespère que son fils ne suive pas ses traces…Les deux malfrats se retrouvent dans un gîte en campagne que Louise et Clovis viennent d’aménager. Rien ne se passe comme prévu, les quiproquos s’enchaînent, rires en perspective…

 

  

17 – 21.06

Mise en scène et régie :
Dominique Moret

Jeu : Loïc Shupbach, Nathalie Tang, Angela Bandini, Luc Magnenat, Émilienne Perrin, Laure Oymak

Création lumière : Romain Félix

 

 

 

Epongez vos dettes,

faites du théâtre !

 

A sa mort, William Panique laisse à ses deux fils un théâtre en faillite, au bord du gouffre.

Survient un bon génie, qui les met sur le chemin, énigmatique : 

« Épongez vos dettes,
faites du théâtre ! » 

Le théâtre comme une dette à honorer, une promesse à tenir. Une reconnaissance ? 

« Je joue donc je suis. » 

C’est osé.

  

25.06 – 06.07

Un spectacle conçu, réalisé et interprété par Pavel Jancik, Philippe Macasdar et Pierre Miserez

avec le soutien des communes
de Chêne-Bourg
Chêne-Bougeries
et Thônex